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c'est quoi la communication ?

la communication efficace

          A l’échelle humaine, peut  dis que la communication est un processus dynamique par lequel un individu établit une relation avec quelqu’un pour transmettre ou échanger des idées, des connaissances, des émotion, aussi bien par la langue oral ou écrite que par autre système de signes par exemple  gestes, dessin ,Ets.

     La communication peut se dérouler en fac a fac ou recourir à un média, si on élargit le sens de ce mot la communication inclut aussi les échanges entre animaux, entre l’homme et l’animal.

     Nous ne pouvons évidement pas couvrir dans ce manuel  quelque champ de la communication ; nous nous intéressons ici aux échanges humains, particulièrement à ceux qui se font par l’entremise de la langue orale et écrite  

   I.            Les composantes de la communication

          Toute situation de communication comporte un émetteur, un récepteur, un message, un code, un référent et un canal. De plus, elle comme toile de fond un entourage physique, événementiel, social  psychologique ou a lieu la communication. Quelle que soit la situation de communication, on y retrouve toujours les mêmes composantes.

v     A.l’émetteur

          L’émetteur est celui ou celle dont l’intention de communication est à l’origine du message ; c’est celui ou celle qui dit quelque chose .ce pue être un individu, comme un écrivain, une journaliste ou un conférencier, ou encore un group, comme une entreprise  ou un gouvernement.

Habituellement, pour être émetteur, il faut avoir l’intention de communiquer, mais il arrive que nous soyons émetteur malgré nous, par exemple, un geste ou une mimique nous échapent.

v   B.le récepteur

          Le récepteur est la personne ou le groupe qui reçoit le message, à qui le message est destiné bien qu’il arrive qu’on lise ou entende des messages. Le spectateur, le lecteueur et l’auditeur sont des récepteurs. Dans la conversation, l’émetteur et le récepteur s’échangent les rôles.

On appelle rétroaction (ou feed-back) ce dernier permet a l’émetteur de saloir comment son message a été reçu et, au besoin, de se rajuster. Cette interaction accroit l’efficacité de la communication.

Il arrive exceptionnellement qu’une même personne soit à la fois l’émetteur et le récepteur d’un message : quand elle note un rendez-vous dans son agenda, par exemple

Référent: A propos de quoi ?

 Emetteur : qui ?

Message : dit quoi ?

Récepteur : A qui ?

Canal : par quel moyen ?

Code : dans quel langage ?

v     C.LE CODE

          Le code est un système constitué de signes et des règles de combinaison de ces signes ;il est destiné à représenter et à transmettre de l’information.

Le signe possède trois caractéristiques :

. il a une forme physique perceptible (on peut le voir, l’entendre,…)

.il réfère à quelque chose d’autre que lui même

.il a un sens reconnu par ses utilisateurs

a)                 le code verbal

          Décoder un message, même simple, demande parfois un certain entrainement et surtout beaucoup d’observation.

Ce code verbal c’est le choix des mots, la connaissance plus ou moins étendue du vocabulaire l’utilisation commune de celui-ci. A première vue, code équivalant à convention, il semblerait que les problèmes doivent être minimes : il suffit de se mettre d’accord sur le sens d’un mot

b)                 le code non-verbal

           Celui-ci est beaucoup plus spontané et aisément pour qui sait voir autant qu’entendre. Il se manifeste généralement a l’insu de celui qui l’utilise. UN peu d’expérience et de bon sens permettent de le déchiffrer ou tout au moins d’alerter l’attention.


v     LE MESSAGE

          Le message est une information dont le sens provient d’un judicieux assemblage d’éléments empruntés à un ou plusieurs codes.il peut parlé, écrit, dessiné, chanté dans la pratique, communiquer n’est pas naturel que le laisseraient croire ces schéma ils se compliquent très vite si l’on réfléchit que tout message est un message codé que le destinataire devra déchiffrer.

v     LE CANAL ET LE CONTACT

           Dans son acception premiere le canal désigne un support matériel permettant la transmission du message. On l’appelle le canal physiqque.

Il existe en outre canal psychologique, ou contact, par lequel s’établit la relation psychologique entre l’émetteur et le récepteur.si le contact n’est pas établi, le message rate sa destination.

v   LE référent

          Le référent est la personne ou l’objet désigné par le message, le référent est concret: on peut le voir, le sentir et le gouter. Mais il arrive aussi qu’on ait un référent abstrait.  Par exemple, si vous dites :’’pardonnez  mon retard.’’, vous désignez un référent (retard, qui n’existe dans l’esprit qu’on ne peut voir entendre. Dans cet exemple et les précédents, les référents sont réels, ils existent réellement. Par contre, dans la fiction, notamment dans la littérature, en rencontre également des référents fictifs. Par exemple, le personnage de roman est fictif, il est le produit de l’imagination de son auteur. Mais qu’il soit concret ou abstrait, réel ou actif, le référent appartient à l’une des deux catégories suivantes: EXTRATEXTUEL OU TEXTUEL.

Un référent extratextuel est une personne ou un objet dont parle le message et qui existerait même si le message n’en disait rien.par exemple, si en entrant à la maison vous lancez :’’on dirait qu’il va pleuvoir ‘’, votre message porte sur les conditions atmosphériques qui ont cours au moment ou vous parlez. Le référent (le temps qu’il fait) vous EST orale fourni par la situation.

Le référent textuelle renvoie plutôt au contexte verbale, c'est-à-dire à l’ensemble des mots et des phrase qui précédent ou  qui suivent.

A :Les facteurs de réussite ou d’échec de la communication

     La réussite et d’échec de la communication dépendent d’une mal étude d’éléments qui ont été abondamment étudiés par la psychologie et  qui dépassent notre propos. Ainsi va-t-il de soi que nous ferons abstraction ici des problèmes lies aux troubles de la personnalité.

L’ensemble de ce manuel porte sur la communication efficace, particulièrement sur l’utilisation optimale du code linguistique.

B :les facteur liés a l’émetteur

La personnalité de l’émetteur et son interaction avec le récepteur ont un effet sur le résultat de la communication.

1 : le cadre de référence

Le cadre de référence est constitué par l’ensemble des idées, des opinions, des croyances, des va leurs des connaissances que possède un individu et qui donnent un sens au message ou le colorent il sert de toile de rond à tout de que l’émetteur dit à l’égard des autres.

Une différence de cadre de référence peut causer des distorsions et empêcher de communiquer pleinement.

Si l’émetteur sait à l’avance que le récepteur a un cadre de référence différent du sien, il prend soin d’ajuster son discords pour ne pas le blesser, le mettre mal à l’aise ou l’amener à se braquer contre lui. Pour cela, l’émetteur essaie de se mettre à la place de l’autre et mise sur leurs vues communes. Le même procède sert aussi dans la préparation d’un débat : pour contrer efficacement l’argument de l’adversaire, il faut s’être exercé à les défendre soi-même  en jouant le rôle de l’opposant.

Bien que la communication soit habituellement facilitée quand l’émetteur et le récepteur partagent le même cadre de référence il existe des circonstances où la multiplicité des points de vue peut être bénéfique. En effet, dans une équipe pluridisciplinaire, par exemple dans un bureau d’ingénieurs, chacun apporte l’éclairage particulier de sa formation à la résolution de problèmes complexes. Toutefois,   ce type de travail nécessite une période d’adaptation aux vies de chacun et une certain ouverture d’esprit quand ce n’est pas une mise à l’écart des préjugés

2 : l’attitude envers soi-meme, autrui et le message

    Une attitude et une prédisposition à réagir de façon donnée face à une réalité, la personne qui jouit d’une bonne estime de soi s’affirme plus facilement celle qui manque de confiance. La première réussit à faire passer son message ; la deuxième, plus timide et plus perméable aux influences extérieures, n’atteint pas toujours son objectif

3 : le mode de perception privilégié

Le mode de perception influe sur la façon dont on acquiert et organise les connaissances et, par conséquent, sur la manière de s’exprimer. Ainsi,  un émetteur visuel a plus tendance à faire des schémas quand il explique, alors qu’un auditif se contente de la parole ; et les deux sont certain d’être compris. Sachant que ses  récepteurs sont susceptibles de privilégier un style de perception différent  du sien, un émetteur utilise des moyens variés pour se faire comprendre de tous. S’il fait un exposé oral, par Exemple, il ajoute des illustrations à sa présentation verbale et distribue un plan ou un résumé écrit.

4 : la conception du rôle d’émetteur

       Le rôle d’émetteur varie selon les situations de communication et il faut en être conscient. L’éditorialiste n’est pas émetteur de la même façon que le professeur, le poète, l’animatrice d’un group de travail ou le député qui vante les réalisations de son parti.

5 : la détermination de l’intention

Il faut en effet difficile de livrer un message clair quand on ne sait pas ce qu’on veut dire.par contre si le but est bien défini, l’émetteur choisira le code le canal et le message les plus pertinents. Par exemple à l’occasion d’un débat, si en désire réfuter l’opinion de quelqu’un, il faut trouvai les argumente et les ordonner de façon convaincante, choisir le ton, les regards et les gestes appropries. Comme l’objectif, dans ce cas, est de contredire l’opposant et non pas de le détruire moralement, la communication réussira mieux si l’émetteur et le récepteur ont des buts complémentaires :divertir/s’amuser, informer/comprendre, enseigner/apprendre, plaire/apprécier.

C : LES FACTEURS LIéS AU R2CEPTEUR

      La communication étant un acte de partage, le récepteur n’y est pas passif.les facteurs énumérés précédemment à propos de l’émetteur s’appliquent aussi au récepteur. On a vu que la communication est facilitée quand les interlocuteurs ont le même cadre de référence et à l’intention du récepteur, ils doivent compléter ceux de l’émetteur

A : les connaissances et les habiletés

       Ses connaissances ainsi que ses habiletés intellectuelles et psychologiques facilitent la tâche au récepteur.une bonne culture générale et des aptitudes en lecture, par exemple, permettent de lire sans efforts et d’apprécier une grande variété de textes. A l’inverse, un lecteur malhabile et inculte qui déchiffre à peine les grands titres est incapable de lire un éditorial, de comprendre le télé journal ou de réagir correctement aux recommandation d’un rapport d’enquête. D’autre part, une bonne capacité de concentration aidé à faire abstraction de tout ce qui peut traire du message.

2 : l’utilisation de message

          L’usage que le récepteur prévoit faire du message reçu conditionne sa motivation. Par exemple, vous dévorerez un rapport de laboratoire que vous attendiez pour commencez la fabrication d’un nouveau produit.de meme l’éléve qui veut apprendre un méyier est très motivé. Il s’amplique entre le minimum de ses cours. A l’inverse, un récepteur qui ne voit pas d’utiltté au message qu’on lui communique décroche ples facelement.

S : la rétroaction

       La rétroaction permet à l’émetteur de vérifier si le récepteur réagit comme prévu au message. Elle est évidemment plus directe et immédiate en communication orale quand les interlocuteurs sont en présence l’un de l’autre le récepteur actif produit une rétroaction explicite. En classe ou âpres une conférence, par exemple, il paraphrase ou reformule les propos qu’il a entendus pour faire confirmer sa compréhension ;  il pose aussi des questions, ajoute ses impressions et ses exemple personnels. S’il y a malentendu, l’émetteur pourra compléter ou clarifier son message

Le récepteur passif fournit lui aussi, parfois à son insu, une forme de rétroaction. Par exemple, le député qui somnole pendant un discourd à l’assemblée nationale donne un ‘’feed-back’’ implicite, mais éloquent. A l’écrit, la réaction est plus problématique. Le message peut essuyer un refus sans pue l’émetteur puisse s’ajuster. On comprend alors la difficulté du rédacteur qui ne voit pas son lecteur ; il doit imaginer ses réactions, au risque de se tromper.

C : les facteurs liés au code

          L’utilisation des moyens d’expression linguistiques faisant l’objet de plusieurs chapitres de ce manuel,  examinons ici d’autres facteurs relevant du code.

1 : la communauté du code

          Il faut que le code soit commun aux interlocuteurs pour que le récepteur comprenne le message dans le sens voulu par l’émetteur. En d’autres termes, pour que la communication fonctionne, l’émetteur doit choisir adéqautement les signes d’un  code et le récepteur doit entendre ces meme signes dans le sens voulu par l’émetteur.et  cela n’est possible que dans la mesure ou les interlocuteurs ont un code ou une partie d’un code en commun.

2 : le choix du code

       Le choix du code doit se faire en fonction du message à transmettre et des circonstances qui ont cours au moment de son émission. Si la langue convient le plus souvent, il est des choses qu’on arrive mieux à exprimer en faisant un dessin ou une grimace. Ainsi , un conférencier peut utiliser des mimiques et des illustrations pour faire mieux

3 : la maitrise du code

     la maitrise du code choisi est essentielle autant à l’encodage qu’au décodage. Il faut que l’émetteur connaisse bien le code qu’il a choisi pour arriver à formuler un message clair, sinon il bredouille, rend la communication difficile et désagréable ; parfois il devient incompréhensible. De meme, le récepteur doit bien connaitre le code pour éviter de donner aux signes reçus une signification qu’ils n’ont pas

D : les facteurs liés au message

   L’efficace du message résulte de l’adéquation entre son contenu et les autres composantes de la situation de communication

A : le degré de difficulté

     La difficulté trop grande d’un message rebute ses récepteurs. Ce qui est facile pour l’émetteur parfois déficela pour le récepteur. De là vient, pour le récepteur, la nécessité de donner du *feed-back* à son interlocuteur pour que celui-ci simplifie son message. De là aussi, pour l’émetteur, la nécessité de s’ajuster au cadre de référence et au code du récepteur. Cela est possible dans la mesure ou l’émetteur sait à l’avance à qui il s’adresse. Mais la recherche de simplicité ne doit jamais se faire au détriment de la précision

2 : la signification

   La signification d’un message n’est pas toujours évidente même si ca maitrise bien le code utilisé.

Quand il s’agit de message qui donne des directives, la polysémie amène la confusion et peut même être à des interprétations, il doit être monosémique.

3 : la pertinence

    Un message doit convenir dans les circonstances ou il est émis. Il doit n’écrit pas n’importe quoi à n’importe qui et n’importe quand.

5 : les facteurs liés au canal et au contact

    La communication suppose une relation et la qualité de cette relation dépend

1 : l’établissment et le maintien du contact

    l’établissment et le maintien du contact sont préalables à l’émision de tout messages. Si le contact n’est pas creé, on parle sans vide. Les médias ont compris cette réalité, eux qui s’ingénient à attirer notre attention par tous les moyans : gros titres ; effets spéciaux.

L’auteur de textes écrits et le présentateur de message oraux auraient aventage à s’inspirere de certains procédés utilisés par les médias pour accorcher laur lecteur ou laur auditoirs.

C : les choix de canal

    Comme le choix de code, celui de canal varie en fonction du message et des circonstances, si , dans nos societée technologiques, le téléphone a remplacé la correspondance écrite dans les communications

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